- Mes longs séjours en Irlande.
- Apprendre une autre langue tous les 7 ans en moyenne.
- Travailler avec Guy Bertil, metteur en scène de théatre, comme élève puis comme assistante http://www.lataille.fr/guy-bertil/
- Que l’on me fasse confiance.
- Pour vous les adultes parents, d’une synthèse de l’Education académique (licence d’anglais, maitrise
d’enseignement) et de la Vie sur le terrain (l’Irlande), instinctivement, passionnément.
- Pour mes élèves, d’une réserve de patience et de bienveillance à les faire éclore (à qui il arrive de mettre
les points sur les i lorsque c’est nécessaire), une sorte de mécanicien d’élèves...
- Pour d’autres qui ne me chercheront pas ici, d’un besoin de précision et d’équilibre dans le yoga, d’un
élan vers la connexion à mon partenaire dans la danse.
D’un domaine à l’autre c’est toujours moi. Ici, j’existe en tant qu’English-Rueil, parce que notre
contexte de culture française aime produire des intellectuels et néglige l’implantation corporelle de ces
compétences. Mes ateliers d'Anglais à Rueil Malmaison sont mis en place sur ce principe de la prise de conscience physique au
travers de la langue Anglaise. Je propose également des stages d'anglais pendant les vacances scolaires pour que votre enfant
progresse dans son niveau d'Anglais, un peu comme une immersion en pays Anglo-saxon.
- Oui, une langue existe dans le corps, y vibre et y imprime son existence par toutes sortes de
variations : du regard, à la respiration, de la sueur au frisson, de l’éclat de rire à l’éclat de colère et
tant d’autres choses encore.
Nous les percevons consciemment ou non lors d’un échange avec une autre personne, c’est ce qui
nous fait comprendre un message oral, même s’il est imparfait du point de vue académique.
- Oui, l’imitation et la répétition sont des outils précieux. Notre cerveau est fait pour parler une
langue et tout le monde y arrive, au moins avec la mangue maternelle. Mais personne ne peut parler
couramment, même pas sa propre langue, sans de nombreux essais et répétitions d’une façon puis
d’une autre, au gré des jeux et des plaisirs qui peuvent nous inspirer ou des obligations qui nous
forcent à bouger.
La compréhension intellectuelle rend les choses intéressantes, mais ne suffit par à faire parler. Des
enfants qui jouent jusqu'aux adultes qui s’intéressent, tous majoritairement préfèrent le contenu (le
message), au contenant (la forme).
N’est-ce pas ce qu’on expérimente à l’étranger ? On se débrouille au début en balbutiant les
quelques formules dont on se rappelle et notre interlocuteur, Ô merveille loin de nous juger, fait
de son mieux pour nous répondre, probablement même, le sourire aux lèvres... Il n’y a pas de
note, ni d’examen en jeu et pourtant on va jusqu’à la conversation, de base ou élaborée ...et
parfois même jusqu’à la passion !
Ici, retrouvons l'humain, du jeu à la passion, loin des programmes internet
Fièrement propulsé par Nicolas Kadri de Solidgrahic.fr